À New York, le quatrième affrontement les oppose au niveau ATP avec la demi-finale en jeu. Jannik le froid versus Carlos le chaud : un dualisme qui part de loin et qui promet d’enflammer l’après Big 3 tennis
Carlos est le nom de l’Alcaraz que nous connaissons tous, mais aussi du père et du grand-père. Famille de coutumes, de traditions et d’ADN à transmettre, dans laquelle le tennis est une religion. « Quand j’avais trois ans, j’avais déjà la raquette dans la main ». De l’autre, Sinner, qui parlait ainsi de son enfance : « J’ai eu la chance d’avoir des parents qui m’ont toujours laissé la liberté de décider ce que je voulais faire, quel sport pratiquer. Pour eux, l’important était que j’étais heureux, et aujourd’hui je suis heureux ».