« Le village est oet », cela est devenu soudainement possible lorsqu’on a acquis un cyclomoteur à l’âge de seize ans. L’un a dû travailler dur pour y parvenir, l’autre avec le soutien de sa famille. Mais une chose était sûre : on pouvait découvrir le monde immense en tant que jeune rural.

Le cyclomoteur comme symbole de liberté. Simon Mulder, âgé de seize ans et doté d’un budget modeste, a vite découvert que les belles choses coûtent cher. Le Puch qu’il voulait lui coûtait trop cher et il fut obligé d’en prendre un moins cher. Un vieux Puch Maxi de confiance, qui l’emmenait partout entre l’âge de seize ans et le permis de conduire.

Des années plus tard, il est tombé sur le Puch qu’il désirait à l’époque et l’a acheté sans hésitation. Les deux sont désormais inséparables et il a rejoint le club de cyclomoteurs du village pour faire une tournée avec d’autres malades. « Un peu le long des terrasses », rit Mulder. « Et puis ils passent : j’en avais un comme ça, et mon frère en avait un comme ça. »

Regardez l’intégralité de l’histoire de Mulder ci-dessous.



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