Simon Keizer : « Comment évaluer mon amitié avec Nick ? 6.5 ! »


Alors que Nick Schilder s’impose comme une sorte de tigre à succès, on n’entend presque plus parler de Simon Keizer. Est-ce que cela met encore plus à rude épreuve leur amitié ? « Quelle note dois-je lui donner ? Un 6,5.

© ASBL, RTL

Nick Schilder a fait des débuts très réussis en tant qu’artiste solo : la chanson Shatterproof a été un succès. Son ancien collègue Simon Keizer, en revanche ? On n’en entend pas beaucoup parler. Apparaît occasionnellement dans un podcast, mais ne fait pas grand-chose d’autre. Maintenant, il a composé une chanson avec Paul de Leeuw et ils ont été autorisés à venir la chanter hier à Renze.

« A quoi fait-elle référence ? »

Pourquoi entendons-nous si peu parler de Simon ? « J’ai décidé de faire une pause pendant un moment, mais ensuite Paul a proposé une si belle chanson. Je me suis dit : c’est tout simplement trop beau pour le laisser passer », dit-il à table. Renze dimanche.

Cette chanson est très sympa, mais Renze Klamer veut surtout revenir sur tous ces trucs fous sur Nick & Simon. Est-ce qu’ils se sont regardés, est-ce qu’ils ne se sont pas regardés ? Se sont-ils battus à mort après cette interview avec Eva Jinek ? « Je dois l’admettre : j’ai aussi regardé en arrière et je me suis demandé : à quoi font-ils réellement référence ? », répond Simon.

Très bien

Comment ça se passe entre les deux maintenant ? Simon : « Nous allons vraiment bien. Nous n’avons jamais caché que nous ne nous rendons pas beaucoup visite. Nous nous sommes toujours vus dans la vie de tous les jours. Nous n’étions pas les meilleurs, les meilleurs amis, juste des copains qui faisaient de la musique.

L’animateur Renze Klamer en veut clairement jus. « Juste 7 amis? »

Oui, quelle note Simon donne-t-il réellement à son amitié avec Nick ? « Mwoah, 6.5, 6, 7-. Haha, non, alors nous l’analyserons après tout ! Nous envoyons régulièrement des SMS. Cela se passe vraiment bien.

Décomplexé

Dans l’ensemble, la vie de duo musical ne manque pas à Simon. « J’ai trouvé que devoir performer était un peu fatiguant. Chaque planche a été comparée à la planche précédente. Il fallait faire plus d’efforts pour obtenir moins. Très lentement, le plaisir s’est un peu estompé.

Il conclut : « Je suis simplement curieux de savoir ce que ça fait de faire de la musique en s’amusant vraiment. Décomplexé.



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