Sigrid Kaag fait du bruit lors de l’avant-première d’une célébrité néerlandaise : « NE ME FILMEZ PAS ! »


Hier, Sigrid Kaag était présente à la première glamour de BN’er du classique du ballet Raymonda, mais ne voulait pas être photographiée ou filmée par les médias. « A cause de l’Ukraine. »

© SBS, OBNL

La première glamour du ballet classique Raymonda dans le bâtiment du Dutch National Opera & Ballet à Amsterdam a réuni hier d’innombrables stars. Pernille La Lau, Caroline de Bruijn et Angela Groothuizen, entre autres, ont défilé sur le tapis rouge. Qui d’autre était dans la fête ? Sigrid Kaag.

Sigrid joue à cache-cache

Il y avait pas mal à faire de sa présence, dit Albert Verlinde au pupitre de Afficher les actualités† « Vous êtes tous prêts – les caméramans, les photographes et les reporters aussi – et à l’avance il a été dit : ‘Sigrid Kaag est là, mais elle préfère ne pas être photographiée ou filmée avant d’aller à cette première.’. »

Étrange, pense Albert. « Alors vous pensez : pourquoi donc ?! Et si vous continuez à demander, cela a à voir avec le fait qu’elle a du mal avec la guerre en Ukraine, que vous allez à quelque chose comme ça. Alors je pense : oui, ou n’y va pas, ou entre par la porte de derrière, alors personne ne te verra, ni ne fera de déclaration. »

Attitude hollandaise

Sigrid aurait pu lui donner une belle tournure, pense Albert. « Il est également vrai qu’Olga Smirnova est une danseuse russe qui a fui et qui jouera bientôt aussi le rôle principal dans ce spectacle. Alors elle aurait pu dire : ‘Je veux aussi soutenir le monde de la danse et elle et c’est pourquoi je suis là.’ »

Maintenant, elle agit de manière très étrange selon Albert. « Elle aurait pu dire n’importe quoi, mais bon, nous avons en effet une photo d’elle lorgnant un peu par derrière sur le tapis rouge. Regardez, ici vous le voyez. J’espère qu’elle a passé un bel après-midi, mais je pense que c’est une attitude bizarre, un peu hollandaise aussi. Soit tu y vas et tu y vas, soit tu ne le fais pas. »

« Alors ne pars pas !

Incommode, le présentateur de Shownieuws, Tooske Ragas, le pense. « Oui, alors tu ferais mieux de ne pas y aller. »

Chef de l’histoire Guido den Aantrekker : « Mais elle était là en tant que personne privée, je suppose ? Parce que je ne pense pas qu’il y ait vraiment de lien avec son travail. »

Albert : « Non, mais D66 c’est bien sûr le club de la culture, donc j’imagine que tu aimes y être.

Marc Rutte

Albert distribue alors un compliment à son propre chef de parti. « Ce qui est spécial, c’est que Mark Rutte paie toujours son billet lui-même, n’est-ce pas ? Tout le temps. Il ne va jamais à un spectacle gratuitement. Je le sais par expérience. À un moment donné, j’ai dit : « Viens voir Billy Elliot ou quelque chose comme ça. Puis il a dit : ‘Je veux, mais je veux payer.’ »

Guido : « Je pense que c’est chouette. »

Le photographe William Rutten rit : « Il y a encore beaucoup de gens aux Pays-Bas qui reçoivent encore de l’argent de lui. Peut-être qu’il peut payer ça une fois aussi.



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