Si janvier rime avec gaffe : José Mari et… voici les pires affaires de tous les temps

Voici janvier, le mois où la session hivernale du marché des transferts, autrefois connue sous le nom de marché de la réparation, semble être la panacée à tous les maux qui affligent les équipes et les clubs. A chaque fois que le début de saison ne répond pas aux attentes, le refrain est unanime : « on verra en janvier ». Mais la séance de bourse de janvier n’est pas une science exacte, au contraire, il faut savoir bien l’utiliser, sinon le risque de flop est toujours présent. Comme en témoignent ces transferts hivernaux très médiatisés, mais avec des résultats qui laissaient beaucoup à désirer… Mieux vaut commencer par la Serie A, où il y a eu de nombreuses gaffes en janvier, mais peut-être que la palme revient à Milan qui en janvier 2000 a décidé d’étoffer le champion offensif d’Italie en fonction en prenant de l’Atletico Madrid JoséMarie, star de l’Atletico Madrid et déjà appelé pour l’Espagne. Eh bien, le canterano de Séville coûte aux Rossoneri près de trois milliards de lires par but, étant donné que 40 arrivent dans la classe Colchoneros et seulement quatorze buts arrivent à Milanello, dont la plupart entre la Coupe d’Italie et les Coupes d’Europe. Deux saisons et demie à Milan, avec de mauvais résultats et un adieu évident en 2002. Pas exactement une réparation réussie pour les Rossoneri.



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