Service communautaire pour une assistante dentaire d’Assen après une tentative d’extorsion

Une assistante dentaire de 35 ans originaire d’Assen a été condamnée à 2 jours de prison pour avoir tenté d’extorquer son ancien patron. La femme a purgé cette peine en détention provisoire. Son compagnon d’alors (37 ans) d’Assen en était l’instigateur, selon le juge, et a été condamné à quatre-vingts heures de travaux d’intérêt général.

Ces peines sont à la hauteur de ce que le ministère public (OM) réclamait fin mars. Une peine de prison aurait été plus appropriée, n’eût été le fait que la tentative d’escroquerie avait déjà eu lieu en 2017. Il y a trop longtemps pour envoyer les deux en prison. À l’époque, la femme travaillait pour un dentiste à Assen. Elle voulait arrêter et était très enceinte.

Tous deux ont tenté de convaincre le dentiste de signer un accord qui accorderait à la femme une prestation plus élevée. La femme avait également une dette de trois mille euros envers son patron de l’époque, et cela aussi serait pardonné. Le dentiste n’était pas d’accord. Immédiatement après, on lui a envoyé des photos et des vidéos nues de lui-même et d’une femme.

Les images ont été réalisées par une femme de 28 ans d’Assen, qui s’était précédemment présentée au cabinet en tant que patiente. Le médecin est tombé sous le charme et s’est retrouvé au lit avec elle. Elle a enregistré cela. Pour sa part et l’escroquerie de trois autres hommes, le ministère public a exigé un travail d’intérêt général de 80 heures et 180 jours de prison, dont 162 jours avec sursis.

Le juge n’est pas convaincu que la femme ait tenté de faire chanter le dentiste avec ces images. Il semble que ce soit le cas, dit le juge. La femme a reconnu avoir fait ces images, mais le but n’est pas clair. La femme a également escroqué trois autres hommes en 2017 et 2018.

Elle est entrée en relation avec eux et les a persuadés de lui transférer de l’argent. Le tribunal trouve cela, ainsi que la possession illégale d’armes (gaz poivré), prouvée. Elle a été condamnée à 18 jours de prison (équivalent à la détention provisoire) et à une ordonnance de travaux d’intérêt général de 60 heures.



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