Sept agriculteurs ont racheté, mais cela aurait pu être plus

Le député Azote Erik Ronnes se réjouit des sept premières fermes rachetées. Ensemble, ils reçoivent 13,5 millions d’euros, répartis entre eux en fonction de la taille de l’entreprise. Malgré le succès initial, Ronnes critique la « politique de vadrouille » de La Haye. « Tous les arrangements et toutes les règles ne sont pas encore clairs, c’est pourquoi plusieurs agriculteurs ont abandonné ou attendent. »

Il y a 150 exploitations agricoles dans le Brabant à proximité de zones naturelles protégées qui ont de fortes émissions d’azote et relèvent de la catégorie des chargeurs de pointe. Ils pourraient recourir au régime de rachat volontaire. De toutes ces entreprises, 29 agriculteurs ont entamé des pourparlers avec la province, dont sept ont maintenant décidé d’arrêter. « Ce fut une période intense et difficile, mais cela a également un impact majeur sur la vie d’un agriculteur et de sa famille. »

Selon Ronnes, davantage d’agriculteurs auraient pu être rachetés. « Toutes les règles et réglementations entourant les nouveaux programmes de rachat ne sont pas claires, ce qui rend difficile pour les agriculteurs de faire des choix pour l’avenir. C’est pourquoi les pourparlers avec les 22 autres fermes ont été interrompus. C’est dommage, car ils étaient très intéressés. »

Deux nouveaux dispositifs sont attendus cet automne : le dispositif national de rupture d’élevage (LBV) et un second volet du dispositif d’achat de pointe.

41 000 mètres carrés de grange disparaissent
Le temps qui vient 41 000 mètres carrés d’écuries ont été démolis dans les environs de Groote Peel, Deurnese et Mariapeel, Loonse et Drunense Duinen, Kampina et Oisterwijkse Vennen et Kempenland-West. En conséquence, environ 37 300 kilogrammes d’azote disparaissent. Dans certains cas, la nouvelle destination de ces terres n’est pas encore claire.

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