Semenya après la phrase : « Mes droits violés. Ce n’est que le début… »

Après l’acceptation de son recours par la Cour européenne des droits de l’homme, la Sud-Africaine est confiante de pouvoir à nouveau concourir en vue de Paris 2024

Cela ne s’est pas arrêté là. Après l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme, Caster Semenya a lancé la contre-attaque. La Sud-Africaine, double championne olympique et triple championne du monde du 800 m, était ravie de voir son appel contre les réglementations internationales de l’athlétisme sur les niveaux de testostérone requis pour concourir aux Jeux et aux Championnats du monde confirmés. Des valeurs qui, de fait, l’ont forcée à quitter l’athlétisme.

DOMMAGES PSYCHOLOGIQUES

Selon les juges de Strasbourg, Semenya a en fait été « discriminée ». « La justice a parlé mais ce n’est que le début », a déclaré le Sud-Africain. « Mes droits ont été violés. Tout cela a eu un impact fort et dommageable sur ma carrière : mentalement, émotionnellement, physiquement et financièrement », a ajouté le Sud-Africain, qui espère pouvoir reprendre la course avant Paris 2024.



ttn-fr-4