Sébas Diekstra donnera des conseils à RTL sur la sécurité sociale sur The Voice, mais ne comprend finalement pas pourquoi Peter van der Vorst permet que cela revienne. « Il pense principalement aux finances. »
C’est un rêve de communication pour RTL : la chaîne a fait appel à Sébas Diekstra, l’avocat de plusieurs victimes de Voice, et à Mariëtte Hamer, la commissaire du gouvernement chargée des comportements transgressifs, pour les aider.pour aider‘, comme ils l’appellent, avec la reprise du concours de talents controversé. Ils donneront des conseils sur la sécurité sociale.
Aucune approbation
Sébas ne le regrette pas. «Je trouve difficile que RTL dise ‘le programme reviendra’, mais ne donne ensuite aucune explication sur la manière dont cela se fera. J’ai parlé à un certain nombre de victimes et j’en assiste actuellement quatre autres. Ils savent ce qui n’a pas fonctionné », explique-t-il. Nouveau Revu.
« Leurs expériences peuvent conduire à des conseils susceptibles de garantir que ces « compteurs » et les personnes qui doivent agir deviennent plus efficaces. Nous avons proposé de mettre cela sur la table à RTL lors d’une réunion exploratoire. Cela signifie que nous, les victimes, n’approuvons pas le retour de The Voice. »
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Une structure solide doit être mise en place pour éviter que cela ne se reproduise, selon Sébas. « Les conseillers de confiance étaient dans une position trop faible. L’élaboration d’un code de conduite peut permettre d’agir plus rapidement.»
« Par contre, un exemple simple tiré de la pratique : un chef de groupe envoie une photo de bite à un candidat. Je ne pense pas que nous ayons besoin d’un code de conduite pour déterminer si cette personne peut continuer à travailler avec le programme. Dans tous les cas, une attention particulière doit être portée aux hommes qui détiennent du pouvoir au sein de l’organisation.
« Pour les finances! »
Johan Derksen préconise de ne pas mettre du tout d’hommes à la présidence des jurys, une idée que soutient Sébas. « Et pour les coachs qui se présentent déjà dans les médias ; ils en veulent trop, je pense que c’est dangereux aussi. Si j’avais été membre du conseil d’administration de RTL, je n’aurais pas autorisé le retour du programme.
Sébas fait référence aux directeurs de RTL Peter van der Vorst et Sven Sauvé. « Pour moi, le respect des victimes était le principe directeur. Pourquoi ce programme doit-il revenir à tout prix ? On ne peut penser qu’à un seul intérêt : l’intérêt financier.