Schiphol tente d’utiliser des canons à eau pour réduire les émissions de particules ultrafines des moteurs volants. Les particules ultrafines adhèrent au brouillard, les faisant tomber au sol sous forme de gouttelettes. Schiphol espère que si le test réussit, les travailleurs au sol et les résidents locaux n’auront plus à inhaler les particules ultrafines des avions.
Le test sera effectué par des experts de Schiphol TNO et avec un avion Corendon. Le TNO mesure la quantité de particules ultrafines, tandis que le brouillard se propage de différentes manières lorsque les moteurs tournent à haute puissance, tout comme lors du décollage, du décollage et de l’atterrissage.
Carolijn Schoofs, responsable de l’innovation à Schiphol, attend beaucoup de l’utilisation du brouillard : « Si nos attentes se confirment, nous pourrons utiliser ces connaissances pour affiner la technologie et continuer à travailler sur l’utilisation du brouillard à l’aéroport. »
cloche d’urgence
Les résidents locaux de Schiphol deviennent régulièrement exposé à des concentrations accrues de particules ultrafines. Cela a un effet sur leur santé, selon une étude du RIVM. Le personnel au sol appelle depuis des années la cloche d’urgence sur les dangers des particules ultrafines. Une étude indépendante des conséquences sur la santé des salariés n’a pas encore été réalisée, mais ça viendra†
Le test a été filmé par Schiphol lui-même.