« Sacrifier des animaux n’est pas un progrès »


Prime

Le meilleur de De Telegraaf

– Selon Debby Weijers est là pénurie d’organes de donneurs humains et constitue un problème terrible et persistant. « Nous devons donc chercher une solution. Mais le trouve-t-on chez les animaux ? Non, ce n’est pas la solution idéale et la meilleure.

Lorsqu’il est devenu mondialement connu au début de cette année qu’un Américain, David Bennet, âgé de 57 ans, s’était fait greffer un cœur de porc, le monde a été bouleversé. Cela a été considéré comme une percée médicale majeure. D’un point de vue médical, cela peut être vrai, mais d’un point de vue éthique, c’est un sujet très compliqué.



ttn-fr-2