Ruben Nicolai ne voulait pas d’un accident de voiture presque mortel trop explicite à la télé


Ruben Nicolai a été victime d’un accident de voiture potentiellement mortel en 2011 lors du tournage de De Worste Chauffeur. Les images les plus explicites n’ont jamais été rendues publiques.

© L’heure du café

Ce fut le choc de la vie de Ruben Nicolai : en 2011, il fut durement touché par l’un des participants de De Worste Chauffeur van Nederland. Les images ont été diffusées à la télévision, voir ci-dessous, mais sans les plans les plus explicites. Le présentateur ne voulait pas cela aux yeux du public.

Putain de merde

Ruben y repense encore avec difficulté. « Oui, il a fallu un an pour s’en remettre. Quelques semaines après la collision, je suis allé à la maison de production pour voir l’assemblage. Ils pensaient qu’il était important que je donne mon approbation, ce qui était très soigné », raconte-t-il dans Veronica Superguide.

Les images les plus explicites n’ont pas été diffusées. « Je ne voulais pas de vidéos sur YouTube où les enfants penseraient : putain de merde, mon père vole dans les airs. »

Sept points de vue

Au final, Ruben n’a pas supporté de regarder le montage. « J’ai pris une profonde inspiration et j’ai dit que j’étais prêt, mais dès que j’ai entendu le bruit de cette voiture accélérer, j’ai dit, arrêtez. Je ne pouvais pas le gérer. Ils l’ont monté avec bon goût.

Autrement dit : sans les images les plus explicites. « Il a été filmé sous sept angles de caméra, ils auraient donc pu le capturer beaucoup mieux qu’ils ne l’ont fait à la fin. »

Comment traité?

Ce fut un traumatisme pour Ruben. Comment a-t-il géré ça ? « J’ai fait une représentation théâtrale dans laquelle je montrais chaque soir le fragment de cette émission. Cela a eu un effet thérapeutique. Maintenant, je peux très bien le voir.

« Récemment, je buvais une bière dans mon restaurant préféré à Amsterdam lorsqu’un jeune homme est venu vers moi : hé, tu es de ce hit ! Il m’a dit qu’il regardait souvent cette vidéo avec des amis avant de sortir et qu’ils riaient aux éclats. (…) C’était aussi rafraîchissant, donc sans compassion. haha.

Fragment

Le fragment en question :



ttn-fr-48