Rome et Dybala s’associent même en cas d’adieu : clause de 20 millions… pour deux

Le contrat a mis 36 heures à se rédiger : en cas de séparation, une partie de l’indemnité de licenciement reviendra au joueur à partir de l’année prochaine

De notre correspondante Andrea Pugliese

20 juillet
– albufeira (portugal)

Plus de trente-six heures de travail, un effort colossal. Beaucoup de travail a été fait sur le contrat de Paulo Dybala, évidemment net des heures de sommeil d’un jour à l’autre. Mais dans la rédaction de ce qui était en fait l’un des contrats les plus élaborés de l’histoire des Giallorossi, les travaux ont commencé lundi après-midi, pour n’arriver aux dames que mercredi en fin de matinée.



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