Neuf hommes, six femmes, quinze bleus au total. La patrouille italienne qui ouvre demain la campagne française de Roland Garros est nourrie et aussi compétitive, et surtout dans le domaine des hommes, espérons-le, de Sinner et associés, cet exploit qui ressemble désormais à une sorte de Godot : on attend mais on n’arrive jamais, à moins en termes de victoire finale.