Robert traîne l’emblème de Bosch à Curaçao, spécialement pour le roi


Ce n’est pas tous les jours que vous rencontrez le roi Willem-Alexander, et certainement pas que vous puissiez également lui offrir un souvenir spécial de Den Bosch. C’est arrivé à Bosschenaar Robert van Straaten jeudi sur Gouvernementsplein à Curaçao. « J’avais apporté l’emblème Bossche Epiphany spécialement pour cela. »

Profitant de ses vacances à Curaçao, Robert avait toujours le projet de partager l’entrée de Den Bosch avec le roi. « Je savais qu’il viendrait ici pendant que nous étions ici », dit-il. « Alors j’aurais dû apporter l’emblème du carnaval. » L’emblème en poche, il s’est rendu à une petite cérémonie pour tenter sa chance.

Lors de sa visite à Curaçao, le parti royal était présent dans le district de Punda pour frapper une pièce commémorative en l’honneur du 25e anniversaire de Willemstad en tant que site du patrimoine mondial de l’UNESCO. « Je n’étais qu’à quelques mètres de lui, ce n’était pas occupé », raconte l’habitant de Bossche.

« Nous avons trois rois, tu es mon quatrième roi. »

« Votre Majesté, puis-je vous offrir quelque chose ? », a-t-il lancé après la cérémonie. « Le roi est venu me voir tout de suite, il était très détendu. » Robert dit qu’il en a immédiatement fait une blague : « Nous avons trois rois, tu es mon quatrième roi. » Willem-Alexander a ensuite mis l’emblème dans sa poche avec un sourire.

Robert est le président de Driekoningen Den Bosch, où une entrée a lieu chaque année depuis 1930. Dans l’entrée, vous pouvez voir que les trois sages Caspar, Baltazar et Melchior de l’Est traversent la ville avec des chameaux, des moutons et des chevaux, et se rendent ainsi à l’étable pour rendre visite à l’enfant de Noël.

« Je vais réessayer l’année prochaine. »

Chaque année, l’organisation distribue environ trois cents emblèmes, et maintenant le roi Willem-Alexander en possède également un. Et Robert compte bien poursuivre cette tradition. « L’année prochaine, j’essaierai à nouveau de lui en donner une copie. »

On ne sait pas encore si le roi visitera jamais l’Épiphanie, mais il y a toujours de l’espoir pour Robert. « Nous serions ravis qu’il passe. » Et s’il avait les mains moites en secouant ? « Non. Je n’étais pas nerveux, c’était juste une expérience unique. »

L'emblème de l'Épiphanie
L’emblème de l’Épiphanie



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