Revue: Beyrouth :: HADSEL


Le son indie pastoral et spirituel de Zach Condon s’épanouit dans l’obscurité et le froid.

Avant que la pandémie ne mette fin à toutes les tournées de concerts, Zach Condon a dû annuler son album GALLIPOLI à Beyrouth en raison d’une infection à la gorge. En réponse à ses problèmes de voix, il a loué une maison dans un endroit où le soleil n’est visible que brièvement en hiver, sinon le froid et l’obscurité règnent à Hadsel, tout au nord de la Norvège. Son attraction était la « Kirke » octogonale avec un orgue du début du 19e siècle.

Amazone

Un expert de Hadsel nommé Oddvar lui a fourni les clés – et Zach Condon a vaincu le sentiment qu’il n’était pas à la hauteur de cet orgue. Ainsi, les accords classiques de Beyrouth qu’il a précédemment enregistrés à l’accordéon proviennent d’un orgue dans la chanson titre, ce qui donne de la grandeur à la musique.

Vous trouverez ici du contenu de YouTube

Afin d’interagir avec ou d’afficher du contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.

Les fans de Beyrouth connaissent les autres ingrédients : les voix multiples de Condon, une trompette claire comme une cloche – le son d’une beauté immédiate. L’album se développe à partir de ce point de départ, « Arctic Forest » bat le froid avec des rythmes tropicaux, « So Many Plans » est une Americana pour la région au nord du cercle polaire arctique, « Süddeutsches Ton-Bild-Studio » est une valse d’un autre monde, avant que le Le rythme final de Farfsa donne le ton. La chanson s’appelle « Regulatory » et c’est le but de Zach Condon sur cet album : re-réglementer les choses qui ont déraillé.

Vous trouverez ici du contenu de Spotify

Afin d’interagir avec ou d’afficher du contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.



ttn-fr-29