Electro-Pop fragile qui se situe entre les styles mais pas entre les chaises.
Le trio électro-pop canadien prend son temps avec sa musique. Cela s’applique non seulement aux temps d’attente parfois péniblement longs entre les disques, mais aussi aux chansons elles-mêmes, à l’instar de « Supernova », l’ouverture d’EUPHORIC RECALL, qui est épique à tous égards, en près de dix minutes à coup de beats tourbillonnants. , cordes électroniques et over the La voix planante de la chanteuse Raphaelle Standell-Preston crée un arc de suspense que d’autres artistes aimeraient emprunter pour un disque entier est impressionnant.
Avec des moments synth-goth plutôt sombres et enveloppés, les trois postulent ensuite pour une apparition sur le premier album de Fever Ray (« Lucky Star ») sur certaines chansons ou recueillent des larmes sur la piste de danse à la manière de Robyn (« Apple »). Un est resté. Les chansons de Braids doivent être traitées avec soin.
Tout chez eux semble trop beau et trop fragile à la fois. Comme dans un jeu de tabou, tout sur cet album veut expliquer comment fonctionne la pop sans avoir le droit d’utiliser ces trois lettres. Parce que chaque fois que des rythmes avant-gardistes croustillants, des structures expansives et répétitives ou des moments instrumentaux veulent s’éloigner de la mélodie, l’écriture les rattrape à nouveau avec un lasso de soie.