Review: Sparks :: LA FILLE PLEURE DANS SON LATTE


Une pop sophistiquée qui a survécu à tous les zeitgeists des 50 dernières années.

Quiconque a vu le film d’Edgar Wright « The Sparks Brothers » les connaît tous : les 25 albums des frères Mael, aussi farfelus que flamboyants, et leurs origines. Avec THE GIRL IS CRYING IN HER LATTE, album n°26 et donc pas le sujet du film, les deux septuagénaires ne nous présentent pas un travail tardif avec des versions café de leurs tubes, mais plutôt un dérisoire et une collection de chansons sans concept qui comprend toutes les phases Sparks des 50 dernières années. Il y a d’abord le single éponyme « The Girl is Crying In Her Latte », dans le clip Cate Blanchett danse dans un costume Stella McCartney jaune canari. Une chanson entraînante et simple à quatre au sol tissée dans les sons d’un Atari mourant.

Amazone

Vous trouverez ici du contenu de Youtube

Afin d’interagir avec ou d’afficher le contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.

Le « Veronica Lake » suivant est complètement différent : une affaire complexe, dotée d’une électronique minimale impressionnante, qui laisse à Russell Mael, 74 ans, beaucoup de place pour ses acrobaties vocales de vaudeville. Et pour ceux qui pensent maintenant que Sparks s’est concentré sur l’électronique de gauche, ils puisent dans le glam rock de leurs débuts sur la chanson n ° 3, « Nothing Is As Good As They Say ». Et ainsi de suite, tantôt de la musique de chambre, tantôt de la grandiloquence, le plus souvent avec la blague chantée qui est déjà dans le titre. Quoi qu’il en soit, Russell Mael pourrait lancer son fausset sur une tondeuse à gazon en marche, ce serait toujours Sparks. Puisse ce groupe exister encore 50 ans.

Auteur : Michael Prener

C’est ici que vous pouvez trouver du contenu de Spotify

Afin d’interagir avec ou d’afficher le contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.



ttn-fr-29