Review: Kim Petras :: NOURRIR LA BÊTE


Amortisseur central pop. où seul le Jeföhl tombe un peu à l’écart.

Le fait que le terme «début» soit utilisé ici du côté des relations publiques est un peu idiot. Mais, oui, c’est le premier LP de Petra sur un label majeur. Elle a sorti des EP, des mixtapes, des singles et des longs métrages pendant la moitié de sa vie. De toute façon, Petras n’est pas connue en tant qu’artiste d’album, elle crée simplement hit après hit.

Amazone

Bien sûr, « Feed The Beast » en est aussi plein. Elle a complètement renoncé aux ballades, et à l’annonce : « Everything I drop is a banger » (« Uh oh ») et vous obtenez ce que vous attendez : de la pure Petra, toujours entre une fille de Cologne et une it girl hypersexuelle d’Hollywood. Les chansons sont encore une fois principalement sur le sexe et ne sont pas subtiles (« My Coconuts, you can put ’em in your mouth », « Hit It From The Back » etc.), musicalement vous êtes ici avec Robyn, Icona Pop, Ace of Base et claquements forains.

Vous trouverez ici du contenu de Youtube

Afin d’interagir avec ou d’afficher le contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.

Mais cette fois, Petras en ajoute une autre couche. Elle-même appelait sa musique « Slut Pop » (comme son dernier EP), mais « Feed The Beast » est trop mignon et aléatoire pour cela. Même le genre de l’hyperpop, auquel Petras est communément associé, explose ici, il faut d’abord le faire. Essayons donc une catégorie plus ancienne : la pop chewing-gum. Ce serait pop de choc central. Plus n’est probablement plus possible. Juste pour dire Kölsch : Jeföhl tombe un peu à l’eau.

C’est ici que vous pouvez trouver du contenu de Spotify

Afin d’interagir avec ou d’afficher le contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.



ttn-fr-29