Piazza Affari monte et l’écart reste acceptable dans la première session post-électorale. Le succès du centre-droit avait déjà été tenu pour acquis et les investisseurs ne s’attendent pas à des écarts particuliers par rapport aux récentes politiques économiques et fiscales
de Maximilian Cellino
L’apparition du résultat de loin le plus attendu à la veille et la croyance largement répandue au moins pour le moment parmi les investisseurs que les politiques économiques et fiscales du gouvernement qui entrera en fonction dans les semaines à venir finiront par ne pas s’écarter de manière significative du chemin parcouru ces deux dernières années. Il s’explique essentiellement à travers ces deux éléments la dans l’ensemble réaction composée au vote italien payé par les marchés, qui semblaient hier plus concentrés et effrayés par …