René van der Gijp s’est souvent moqué de Gordon dans le passé, mais il vit désormais la même expérience qu’Yvonne Coldeweijer. « Heureusement, il rit beaucoup de ses propres blagues. »
Il ne pouvait en être autrement avec Angela « tête mangée » de Jong comme invitée : hier soir, il s’agissait encore de Gordon à table. Aujourd’hui à l’intérieur. « Peut-être, Angela, que nous devrions déposer un rapport ensemble. Il faut qu’il y ait une limite quelque part », plaisante Johan Derksen, qui a également été réprimandé par Goor. « Haha. Mec, je m’en fous. »
‘Ne t’inquiète pas’
En tant qu’ancien fan des programmes Geer & Goor, René van der Gijp est déçu par Gordon. « Il doit, en effet, comme le dit Wilfred, arrêter d’être lésé, arrêter d’être en colère. Il doit mettre ce truc sur son pied. Si c’est le pire… Même si c’est ennuyeux, j’ai un pressentiment.
« Mais à part ça, ce garçon a fait un excellent travail, mec ? Il a un joli café, un bel appartement à Dubaï, deux chiens qui l’adorent. De quoi d’autre as-tu besoin dans la vie, mec ? Ne vous inquiétez pas trop.
Folie
Johan Derksen trouve ça vraiment triste. «Je ne voudrais rien de ce qu’il fait. Je ne voudrais pas d’un appartement à Dubaï, je ne voudrais pas de deux de ces lécheurs de chattes. Quand je vois avec qui il traîne là-bas et un de ces esclaves qu’il envoie dans la cuisine… Ce n’est pas mon monde.
René : « C’est un monde sur lequel on peut mettre une caméra, ce qui est certainement différent de d’habitude. C’est fou. C’est, ce qu’Angela a dit, triste et triste et vide, mais ça l’est, oui…
Johan : « Mais René, j’ai vu cette émission et je me suis ennuyé à mourir. Il n’y avait rien d’amusant !
Riez juste plus
René remarque que Gordon n’a plus le sourire aux lèvres. « La seule chose que je trouve folle, et c’est ce qu’a aussi dit Yvonne Coldeweijer : je ne peux plus me moquer de lui. »
Angela : « Non, mais heureusement, il rit très fort de ses propres blagues, donc ça fait une différence. »
René : « Oui, oui, ça fait une différence, mais je ne peux plus me moquer de lui, même si je le pouvais. »
Angela : « Mais si quelqu’un montre déjà qu’il n’a aucune autodérision, alors cela devient difficile. »
‘Très triste’
C’est aussi trop triste pour en rire, dit Angela. « Il veut toujours être la grande star de tous les côtés et je pense que ce qui est triste, c’est que s’il avait eu un caractère différent et s’il avait probablement mis un peu moins dans son nez et d’autres substances dans son corps, il serait devenu ça aurait pu être une grande star.
René : « Tu sais ce que c’est, Angela. J’ai le sentiment que Gérard aussi est sérieux dans son métier et tout ça, mais il a de l’autodérision et sait rire de lui-même. Vous pouvez faire une blague à Gérard et il s’en fiche. C’est très bien. »
Angela : « Gérard est juste un gars sympa. Avant et dans les coulisses.
Camouflage
Gordon est tout simplement « incroyablement malheureux », pense Johan. « Et il essaie de le camoufler avec son comportement étrange, comme s’il attrapait un gars toutes les cinq minutes ou quelque chose du genre, ce genre de commentaires, c’est l’impression qu’on a. Alors je me dis : eh bien, eh bien, si tu dois rester debout comme ça, je disparaîtrais de la vue pendant un moment.
René : « Le plus drôle, c’est que c’était faux pendant cinquante minutes. La seule chose qui n’était pas fausse dans tout ce premier épisode, c’était quand il parlait de cette maladie. Ce n’était pas faux. Et puis tu as vraiment vu que ça l’affectait, c’était énervant et c’était nul, mais sinon c’était tout, oui, joué…
Johan : « Il sait aussi très bien pleurer, non ?