René van der Gijp reçoit une amende de 1.500 euros de Talpa : « J’en ai vraiment marre »


René van der Gijp a été condamné à une amende de 1.500 euros par Talpa pour s’être absenté une soirée de Today Inside à l’occasion de la soirée de remise des diplômes de son fils Nicky. « J’en ai un peu marre. »

© SBS, ASBL

Au cours des quatre dernières semaines, René van der Gijp a été à l’antenne tous les jours, y compris le week-end, avec Today Inside Oranje. Il a raté deux soirées : l’anniversaire de son fils Nicky et sa soirée de remise des diplômes. La première fois, il a été remplacé par Rutger Castricum, la deuxième fois par Job Knoester. Et ça lui coûte de l’argent…

Sous-estimé

Ce n’est un secret pour personne, les hommes du VI sont fortement sous-évalués par Talpa, mais John de Mol joue réellement avec le feu. Il a donné une amende à René pour cette absence. Se rend-il seulement compte du peu de choses qui resteront de SBS 6 si les hommes de VI mettent un terme à cette opération ? Après tout, Hélène Hendriks ne veut pas les remplacer.

René se sent sous-évalué. «Je suis content que ce soit fini. Quatre semaines, c’est long, chaque jour. Lorsque nous l’avons fait pour la première fois, à Scheveningen, vous aviez droit à des discours entiers des dirigeants de RTL, à la télévision, tous les jours pendant un mois, et maintenant vous n’en entendez plus parler. C’est devenu normal », dit-il dans le podcast KieftJansenEgmondGijp.

1 500 euros d’amende

Talpa ne semble pas trouver cela spécial, selon René. « Maintenant, vous devez même payer si vous restez à l’écart pour la personne qui est là. Oui, j’ai dû payer. Emploi Knoester, 1 500 euros. Oui, je dois payer pour ça. Cela est déduit de mon salaire.

Le collègue Michel van Egmond trouve cela bizarre. « Il est strict, ce John de Mol. »

J’en ai un peu marre

René est d’accord. « Oui, ce n’est pour rien. On en a un peu marre parfois. Mais oui, vous savez, c’est ce que nous disons aussi : le monde de la télévision est amusant, mais il ne faut pas y penser, car cela ne fait aucun progrès.

Il conclut avec un soupir : « 90 pour cent de ce qui fonctionne là-bas est incompétent. »



ttn-fr-48