Reinout Hellenthal veut briser le tabou de la pauvreté avec un nouveau film : « Dommage, c’est un truc »

Quelques visages familiers feront leur apparition dans le court métrage qui, comme il sied à la marque de fabrique d’Hellenthal, dure une quinzaine de minutes. L’un d’eux est l’ancien basketteur Rik Smits, qui a prêté sa voix pour un petit plus cachet à différentes scènes. Le grand habitant d’Eindhoven (2,24 mètres) a un rôle plus petit, mais est comme conférencier motivateur d’une valeur importante pour le personnage principal Malika.

« Je pense que c’est formidable qu’il veuille associer son nom à cela », déclare Hellenthal à propos du piège de Smits, qui s’est fait un nom et une renommée en Amérique, en particulier dans les années 90.

Aussi Cees Geel, connu pour ses rôles dans Flics Rotterdam et succès au cinéma Simon, est l’un des visages familiers. Le Hollandais du Nord n’a lui-même pas eu une enfance facile. « Il vient d’une famille pauvre. Il travaillait parmi les bulbes de fleurs pour tout payer. Des kilomètres à vélo. La motivation pour contribuer au film est venue de lui-même. »

(Le texte continue sous la photo)



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