REGARDER. Une femme demande 50 000 euros à Disney après un « wedgie douloureux »

L’incident douloureux a eu lieu en 2019 lorsque la famille McGuinness a visité le toboggan aquatique « Humunga Kowabunga » lors d’une visite à Walt Disney World en Floride. Le toboggan, que Disney décrit sur son site Web comme « une chute presque verticale de 5 étages dans l’obscurité », descend de 700 pieds (214 mètres) avant de finalement plonger les visiteurs dans l’eau. Mais Emma McGuinness, 30 ans, a vécu une expérience douloureuse lors de sa sortie d’anniversaire. Elle a intenté une action en justice contre Disney la semaine dernière, affirmant que le parc était au courant, ou aurait dû être au courant, du risque de blessures douloureuses sur le toboggan, en particulier pour les femmes.

Lorsque McGuinness a glissé sur le toboggan et a heurté l’eau au fond, son maillot de bain était pressé entre ses jambes, forçant l’eau « à entrer de force en elle ». Selon la plainte, elle souffrait de graves douleurs internes et du sang coulait entre ses jambes. Des documents judiciaires montrent que McGuinness a subi « des blessures physiques graves et permanentes, notamment de graves lacérations vaginales, une coupure profonde qui a fait dépasser un morceau d’intestin à travers sa paroi abdominale et des dommages à ses organes internes ».

« Lorsqu’un visiteur du toboggan atteint le bas de l’attraction et tombe dans le bassin d’eau conçu pour arrêter tout mouvement ultérieur, la force de l’eau peut pousser les vêtements amples dans l’anatomie d’une personne, un événement connu sous le nom de ‘wedgie' », la plainte dit. « En raison de l’anatomie d’une femme, le risque de « wedgie » douloureux est plus grand et plus grave que chez un homme.

La famille McGuinness réclame des dommages et intérêts de près de 50 000 euros, hors intérêts et frais. La poursuite allègue que Disney « a fait preuve de négligence et a manqué à son devoir de diligence raisonnable » en omettant de fournir des vêtements de protection (tels que des shorts) pour le toboggan, en omettant d’avertir McGuinness et d’autres femmes des risques et par d’autres lacunes dans la conception et la sécurité. .

McGuinness aurait pris la bonne position en glissant vers le bas avec les chevilles croisées « comme indiqué », selon la plainte. Elle aurait décollé vers la fin du toboggan et s’est écrasée contre le toboggan, « augmentant ainsi le risque que ses jambes se détachent ou l’exposent à des blessures ». C’est ce que précise l’acte d’accusation.