La réorganisation du réseau de carburant arrive en Conseil des Ministres à 17h30, avec un projet de loi de 11 articles sur lequel ont travaillé le ministère de l’Entreprise et du Made in Italy et celui de l’Environnement. Selon le projet qui arrive sur la table du gouvernement, de nouvelles fonctionnalités sont prévues dans les stations-service avec des recharges vertes et des biocarburants. Pour la modernisation, le projet de loi prévoit jusqu’à 47 millions par an entre 2025 et 2027. Sur le décret-loi sauvegardant les infractions, qui devrait contenir à l’article 1 la nouvelle réglementation des concessions de plages, dont le texte a été convenu avec Bruxelles (comme attendue dimanche 1er septembre dans les pages d’Il Sole 24 Ore), la décision finale sur le feu vert sera prise uniquement lors du Conseil des ministres convoqué le mercredi 4 septembre à 17h30.

Plus de contrôles sur la délivrance des autorisations

Le projet de loi de réforme du réseau de carburant prévoit tout d’abord des conditions plus strictes pour la délivrance des autorisations de distribution de carburant, qui seront également soumises à des contrôles anti-mafia.

Incitations à la conversion verte des plantes

Le projet qui arrive aujourd’hui sur la table du Conseil des ministres introduit également des incitations ponctuelles à la conversion verte des installations. À cet égard, un Fonds a été créé au ministère de l’Environnement avec une dotation de 140 millions sur trois ans qui servira à financer des incitations à la transformation des usines.

Jusqu’à 60 mille euros pour la contribution des e-distributeurs

Le soutien sera garanti à ceux qui convertiront leurs systèmes, d’ici le 31 décembre 2027, en bornes dédiées à la recharge des véhicules électriques : la contribution, dans la limite maximale de 50% des dépenses engagées, pourra atteindre un maximum de 60 mille euros (augmenté de 10 mille supplémentaires si au moins un distributeur de biocarburant liquide ou gazeux est installé avec les colonnes). Les dirigeants qui ne poursuivront pas la relation recevront toutefois une indemnité ne dépassant pas 20 000 euros.

En savoir plus

Balneari, prolongation jusqu’en septembre 2027 mais avec possibilité pour les communes

Le projet de loi sur les concessions de plages n’est pas à l’ordre du jour du Conseil des ministres. Mais il n’est pas exclu qu’un feu vert arrive « hors du sac ». La décision finale sera prise en Conseil des ministres. Le compromis que le ministère des Affaires européennes, comme prévu par Il Sole 24 Ore du 1er septembre, a identifié avec Bruxelles prévoit l’obligation de lancer les appels d’offres d’ici juin 2027 et la prolongation des concessions déjà en place jusqu’au 30 septembre de la même année. année , mais avec le droit d’anticiper les appels d’offres pour les Communes qui entendent le faire et justifieront adéquatement leur choix. Ce n’est que « en présence de raisons objectives », telles que le litige en cours ou « des difficultés objectives liées à la réalisation de la procédure elle-même », que le délai peut être reporté au 31 mars 2028. Pas de préemptions pour les concessionnaires sortants, alors qu’une indemnisation devrait être reçu pour les successeurs mais avec un périmètre limité.



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