« L’un après l’autre, un participant qui tombe et doit passer par une intraveineuse. Après quoi, il se peut qu’il n’y ait plus d’ambulance disponible pour une crise cardiaque ». L’inspecteur sanitaire Winne Haenen ne voulait pas prendre ce risque, a-t-elle précisé mardi. Une reconstitution de la consultation sur laquelle il a été décidé de raccourcir le Dodentocht. Et pourquoi l’intervention n’a-t-elle pas été nécessaire lors des précédentes vagues de chaleur, comme en 2003 ?
Ingrid De Vos
11-08-22, 05:00
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