Par Jürgen Wenzel
200 000 personnes ont défilé au Tiergarten samedi à « Rave the Planet ». Le journaliste de BZ, Jürgen Wenzel, était déjà là à l’époque dorée de la Love Parade. A cette époque avec plus d’un million de participants. sa comparaison.
Lorsqu’en 2005, après quatre jours de soirée de clôture, la basse se tut soudain et que le patron de Tresor, Dimitri Hegemann, fit un bref arrangement, l’histoire était dans l’air : « Une légende touche à sa fin ».
À ce jour, je me souviens de ce moment. J’ai eu la même sensation de chair de poule aux premiers mots du Dr. Moth et le sénateur pour la culture Joe Chialo samedi. Une fois de plus, il y avait une touche d’histoire dans l’air.
Cette fois, cependant, ce fut une résurrection au lieu d’une chute !
Dimitri Herrmann était également l’un des intervenants du défilé de samedi.
L’ADN unique de la Love Parade a survécu : rassembler pacifiquement des centaines de milliers de personnes, célébrer sans aucune forme d’agressivité.
Westbam a commencé son set avec le vieil hymne de Loveparade “Let the sunshine in your heart”. Comme c’est approprié pour cet après-midi chaud et ensoleillé.
Il s’est réinventé grâce à son nouvel amour Hannah, avec qui il a déménagé il y a trois mois dans un nouvel appartement sur l’Alex au-dessus des toits de Berlin. Le moteur musical de la Loveparade était, est et restera Westbam ! Sa chanson “Beatbox Rocker” fait encore vibrer la parade. Les souvenirs se réveillent
Positif : L’ecstasy ne joue plus un rôle majeur dans le grand public. Il semblait y avoir beaucoup moins de visiteurs toxicomanes qu’à l’époque. Moins de peau a également été montrée qu’auparavant. Même si la police a demandé aux participants de ne pas se déshabiller.
Les moments où les chars se sont fondus dans la foule et l’énergie des chars sur la foule
sauté, cependant, par rapport au pic de la Love Parade, il n’y en avait que quelques-uns à observer.
Le moment magique est encore le passage des voitures devant la colonne de la Victoire. Comme à l’époque.