RAPPORT. Si 2 200 policiers surveillent une rue de France, la fête est vite finie pour les émeutiers

Paris a retenu son souffle pour la « troisième mi-temps » après la demi-finale entre la France et le Maroc. Mais si les Champs-Elysées étaient encore un champ de bataille après les quarts de finale, il n’y aurait pas d’affrontement entre les émeutiers et la police française. C’était tellement en masse que même les plus gros fauteurs de troubles n’en avaient plus envie.



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