Rammstein : Jusqu’à ce que les avocats de Lindemann obtiennent une nouvelle injonction contre NDR


Le facteur décisif a été le signalement d’une agression sexuelle présumée datant de 1996.

Le cabinet d’avocats berlinois Schertz Bergmann a obtenu une autre injonction contre la Norddeutscher Rundfunk (NDR) au nom de Till Lindemann. La raison en est le reportage sur un cas qui se serait produit en 1996. Le chanteur de Rammstein aurait été accusé d’abus sexuels ou de viol. Selon un communiqué officiel de Schertz Bergmann, la chaîne de télévision régionale a été interdite de tout autre reportage sur la question en raison d’un manque de preuves.

Les avocats se plaignent des rapports biaisés sur Till Lindemann

L’injonction a été révélée dans une publication sur X (anciennement Twitter) du profil officiel du cabinet d’avocats mercredi 16 août. Il déclare que le NDR, dans l’association de recherche avec le « Süddeutsche Zeitung », avait « méconnu son devoir de diligence journalistique » en raison d’une « détermination insuffisante d’un minimum de preuves ». Les allégations de Schertz Bergmann sont que le NDR a diffusé des nouvelles prématurées et probablement préjugées dans l’affaire Till Lindemann en raison d’un manque de preuves.

Le libellé de l’injonction

C’est ici que vous trouverez le contenu de Twitter

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L’arrière-plan est un reportage de la chaîne de télévision sur une personne de sexe féminin qui s’est identifiée comme « Sybille Herder ». Elle aurait passé une nuit avec Lindemann en 1996 et se serait réveillée nue dans sa chambre d’hôtel le lendemain matin avec des douleurs abdominales. Du point de vue des avocats, cependant, le rapport sur leurs clients n’était pas « impartial » et « indépendant », poursuit la lettre. C’est maintenant la troisième action en cessation que le cabinet d’avocats a déposée contre le NDR devant le tribunal de district de Hambourg.

Quelques jours plus tôt seulement, les avocats de Lindemann avaient émis une lettre de cessation et d’abstention à l’encontre de « Campact eV ». retirer. L’organisation s’est engagée dans la pétition « Pas de scène pour Rammstein », qui visait à interdire le groupe de concerts à Berlin. Il s’agissait des expressions « abus sexuels » que « Campact » utilisait dans la lettre de pétition. Comme les trois concerts de Berlin se sont terminés à la mi-juillet et n’étaient plus d’actualité, Schertz Bergmann a retiré la commande.



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