Peter Gillis a convaincu le juge que Nicol Kremers doit respecter l’obligation de confidentialité signée par eux ensemble. Mais celui qui rit le dernier rit le mieux…
Nicol Kremers envisage de publier un livre sur sa vie avec Peter Gillis, mais il a eu la gentillesse de lui faire signer un accord de confidentialité et le juge lui a ordonné de le respecter. Très mauvais, dit Nicol, car elle estime que cela permet très facilement de faire taire les victimes de violence domestique.
Tout le monde a son chemin
Elle a signé l’intégralité de cette déclaration sous la contrainte, estime Nicol. Elle déclare à RTL Boulevard : « Il ne devrait jamais arriver que les victimes et les auteurs concluent un tel accord de règlement entre eux pour garantir que le silence règne sur la violence domestique. »
Rob Goossens fait un truc d’Evert Santegoed dans le studio Boulevard et qualifie avec désinvolture la décision du juge de « assez mûrement réfléchie ». “Je pense que de cette façon, chacun fait ce qu’il veut.”
Tennis à domicile
Un commentaire insensé, estime la collègue Miljuschka Witzenhausen. « Oui, vraiment ? Imaginez : vous jouez régulièrement au tennis chez vous, imaginez que telle est la situation, puis vous subissez des pressions pour signer un accord de confidentialité, peut-être avec ou sans récompense financière. »
Elle poursuit : « Mais la personne qui joue au tennis dans la maison est assise en face de vous. Ensuite, vous le signez, probablement sous un peu de pression.
Sous pression
Il semble que cette déclaration ait également reçu une récompense financière. Miljuschka : « Oui, et vous aurez peut-être aussi besoin de ces ressources financières à ce moment-là. Bien sûr, elle a des enfants et maintenant vous voulez porter plainte à cause des choses qui se seraient produites, mais vous n’avez pas le droit d’en parler et vous devenez mentalement retardé. [mishandeld].»
Daphné Bunskoek : “Mais peut-être s’il y a une décision.”
100 pourcent
Probablement, déclare le journaliste policier Jermaine Ellenkamp. « Ces déclarations ont déjà été faites. Le ministère de la Justice mène une enquête et les chances que Peter Gillis soit poursuivi pour cela sont presque de 100 pour cent, donc cela va continuer et peut-être qu’elle sera autorisée à parler après cette décision, car alors ce sera un fait.»