Quatre wildcrossers capturés dans les forêts Bergeijk, motos saisies

Mardi, la police a délivré seize rapports officiels à quatre passants sauvages qui ont traversé les bois de Bergeijk. Trois motos hors route ont également été saisies car elles n’avaient pas de plaques d’immatriculation.

Mardi après-midi, des agents ont contrôlé un lieu blindé, spécialement aménagé pour arrêter les motards. Cela s’est produit avec les soi-disant «boas verts» de diverses organisations. Avec l’action, la police veut empêcher le croisement sauvage dans les réserves naturelles. « C’est une épine dans le pied de nombreux visiteurs et propriétaires de sites, compte tenu des nuisances, des destructions et des intimidations associées », rapporte Staatsbosbeheer.

Les gardes forestiers signalent en particulier le dérangement de la faune dans les réserves naturelles et les situations dangereuses causées par les wildcrossers. « C’est vraiment dangereux. Les cavaliers sont souvent éjectés d’un cheval qui se cabre de peur. Les marcheurs ont peur, surtout s’ils sont dans la région avec des enfants », a déclaré plus tôt le garde forestier Frans Kapteijns.

Cordes et filets
Les amendes pour croisement sauvage peuvent totaliser plus de 1000 euros. Pourtant, les wildcrossers continuent de faire leur truc car les chances d’être pris sont relativement faibles. De nos jours, la police utilise des cordes et des filets pour attraper les wildcrossers.

Dans les endroits où de nombreux wildcrossers viennent, un crosser qui passe est invité à s’arrêter. L’équipe de contrôle tire ensuite les cordes avec des bandes de barrière devant et derrière le croiseur. Toutes les voies d’évacuation à gauche ou à droite dans la forêt sont fermées par des filets. Cette approche brabançonne connaît un grand succès depuis plusieurs années et est maintenant adoptée par d’autres corps aux Pays-Bas.

LIRE AUSSI : Les Wildcrossers conduisent la réserve naturelle en miettes: « Carrément antisocial »



ttn-fr-32