PVV’er Graus: « La déclaration contre moi était fausse, je vis dévotement »

Selon lui, le signalement d’exploitation sexuelle contre Dion Graus était faux, raconte-t-il dans le podcast Sur un titre personnel du journaliste Ernst Lissauer.

C’est la première fois en trois ans que l’homme politique né à Heerlen accorde à nouveau une interview, après des accusations d’inconduite sexuelle et de violence psychologique par son ex-femme.

Mis à l’écart
Graus pense que son ex-femme mais aussi des journalistes ont voulu « l’attraper », mais il souligne qu’il est innocent. Le rapport a été abandonné par le ministère public en décembre de l’année dernière, car il n’y avait aucune preuve d’une infraction pénale. Il a lui-même signalé des diffamations, des insultes et des calomnies.

« Ne jamais être poursuivi »
« Personne ne m’attrapera jamais, je ne serai jamais poursuivi, je ne serai jamais puni. Je suis une personne trop bonne pour cela et je vis trop pieux pour cela », a déclaré Graus. « Je suis sous surveillance continue depuis 2006, rien n’a jamais été trouvé et n’arrivera pas. »

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Sécurité
Son ex-femme l’a accusé de relations sexuelles forcées avec d’autres hommes et de violence psychologique. Selon NRC, Graus l’a forcée à avoir des relations sexuelles avec ses agents de sécurité privés en paiement de leurs services. Sur la base de dizaines de SMS et de messages WhatsApp, le journal a écrit que Graus avait joué un rôle central dans ces « sessions de prêt » pendant des années. L’ex-femme aurait également eu des relations sexuelles avec les agents de sécurité du bâtiment de la Chambre des représentants. La femme était une employée du parti du PVV.

En privé
Dans le podcast, Graus nie avoir eu des agents de sécurité privés. Il dit aussi qu’il a toujours protégé son ex-femme : « J’ai été un chevalier vaillant et courageux ». De plus, Graus considère qu’il s’agit d’une affaire privée. « Ils m’attrapent dans ma vie privée, parce qu’ils ne peuvent pas m’attraper au travail. »



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