Psg, la colère de Galtier : "On ne parle jamais de foot, seulement de marché et de polémique…"

Le défi face à Marseille est toujours particulier. Encore plus pour Galtier, sous les traits d’un ex qui s’impatiente en conférence de presse.

L’entraîneur du PSG Christophe Galtier a explosé avec les journalistes en conférence de presse avant le « Classique » décisif pour la tête de la Ligue 1. L’entraîneur français s’est plaint de questions qui n’ont rien à voir avec le football joué.

Le PSG est une poudrière. Un cas explose par jour. C’est au tour de Galtier : « Il faut de la compétence, de l’expérience et un certain âge pour gérer tout ce remue-ménage. Ici on ne parle jamais de football. Depuis que je suis l’entraîneur du PSG, je me rends compte que match après match, conférence après conférence, on parle d’un minute de foot et dix de polémique également générées par ce qui est rapporté. Si je dis que tout va bien et que le vestiaire s’est rejoint, c’est le contraire qui s’écrit. Clairement on ne s’embrasse pas et on ne s’embrasse pas tous les jours mais le PSG a un meilleur environnement comment c’est décrit. Je ne viens pas ici pour parler de rumeurs donc je ne parlerai pas des éventuels adieux de Mbappé ou de Neymar ou de Mediapart. Je veux essayer, pour une fois, d’axer la conférence de presse sur le football. »

Le défi face à Marseille est toujours particulier. Encore plus pour Galtier, sous les traits de l’ex. « Je suis le manager du PSG et j’en suis très fier. Je pense qu’il vaut mieux se concentrer sur ce qu’on doit faire. Je ne ressens pas de pression particulière liée à mon passé, ça me dérange beaucoup plus. C’est embêtant pour moi. » sans parler du foot et de mon travail. Ma passion c’est le foot, gagner des matchs et aller le plus loin possible dans les compétitions. » Espace aussi pour les choix. « Messi s’est entraîné régulièrement et nous l’évaluerons exactement comme le changement de forme. Nous réfléchissons à l’opportunité de passer à un arrière quatre et par conséquent de changer quelque chose également en attaque. Dès le lendemain du match contre Benfica, nous y avons pensé en par rapport à nos joueurs, à leurs caractéristiques, mais aussi par rapport à l’Olympique de Marseille, qui vous pousse très haut et vous met en difficulté. »



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