Le gouvernement tente d’engager un dialogue avec les chauffeurs de taxi sur les solutions contenues dans le projet de loi sur la concurrence. En effet, les syndicats étaient convoqués ce lundi 27 juin au Mims à deux tables. La première avec les délégués syndicaux des chauffeurs de taxi (à 10h30) ; le second avec ceux de la CCN (à 14h30). Les deux seront présidés par la sous-ministre Teresa Bellanova. Malgré le choix de l’exécutif de maintenir le dialogue ouvert, les syndicats de chauffeurs de taxi ont appelé à la grève les 5 et 6 juillet avec la fermeture du service pendant 48 heures pour protester contre le projet de loi sur la concurrence et la libéralisation du secteur.
La loi annuelle sur la concurrence de 2021 est actuellement en discussion au sein de la commission des activités productives de la Chambre. Il sera approuvé par Montecitorio, en deuxième lecture, d’ici le 22 juillet. Un passage du texte en troisième lecture au Sénat n’est pas exclu.
Que demanderont les syndicats automobiles blancs ?
Lors de la réunion avec le Gouvernement, les syndicats des chauffeurs de taxi demanderont à l’exécutif d’indiquer aux orateurs majoritaires du projet de loi sur la concurrence que l’article 10 de la disposition (anciennement 8) soit supprimé « puisque – c’est l’argument des syndicats – le public le service de taxi est en dehors de la directive Bolkestein et donc l’Europe ne demande aucune libéralisation, ainsi que la conclusion contextuelle de la réforme du secteur lancée par ce Parlement en 2019, avec l’approbation de la réglementation du travail des plateformes d’intermédiation numérique et outils d’application de la loi aux phénomènes répandus d’abus ».
Chauffeurs de taxi en émoi
La catégorie est en ébullition depuis des jours. Les premières assemblées spontanées dans différentes villes italiennes ont été organisées le mercredi 22 juin. Difficile de trouver une voiture blanche à Rome, Milan, Florence et Naples, surtout dans les gares et les aéroports. La protestation a été menée contre l’exécutif « qui ne semble pas avoir pris en considération les raisons des troubles et les préoccupations des travailleurs qui demandent la suppression de l’article 10 du projet de loi sur la concurrence », ont souligné les principaux syndicats à ce sujet. occasion. .