Le procès entre la journaliste de Cursor Bridget Spoor et TU/e ​​​​​​était en fait censé commencer jeudi, mais cette audience a été annulée. Les parties sont parvenues à un règlement, avec des résultats pour Spoor. Ses frais de justice doivent être payés par l’université et le rapport critique doit être publié dans son intégralité, sans laque noire.

L’affaire tourne autour des troubles entre l’université et le magazine universitaire Cursor. La TU/e ​​​​ne gérerait pas bien le magazine universitaire, ce qui, selon les rédacteurs de Cursor, entraînerait une atmosphère de travail dangereuse. Les articles critiques ont été retenus, le rédacteur en chef Han Konings est rentré malade et les rédacteurs se sont sentis anxieux et émus. Le site Web de Cursor est devenu noir.

La commission d’enquête
Une commission d’enquête spéciale a été créée après que la rédactrice en chef Bridget Spoor a dénoncé la culture du travail et les abus en tant que dénonciatrice. Ils ont rédigé un rapport de 47 pages, contenant des recommandations et des conclusions sur la situation de travail chez Cursor. Il indique, entre autres choses, que le rédacteur en chef Konings a été traité comme un « jeu ivre ».

Ce rapport a ensuite été publié par le Conseil exécutif, mais avec cinq pièces laquées noires entre les deux. Par exemple, l’université souhaitait protéger la vie privée de l’un des médiateurs. Cela n’a pas plu à la rédactrice en chef Spoor, après quoi elle s’est adressée au tribunal.

Affaire suspendue
Mais une suspension signifie que l’affaire n’a pas besoin d’aller plus loin. Un règlement signifie qu’un accord provisoire a été conclu avant le début du procès. C’est le cas entre TU/e ​​​​et Spoor.

Le nom noirci a été libéré, les frais de justice seront remboursés. Il reste à voir si le différend a été complètement résolu, mais Spoor dit sur son LinkedIn qu’elle est heureuse et reconnaissante du résultat.

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