Près d’1 million d’euros pour le projet de réutilisation des eaux résiduelles de Torhout


Près d’1 million d’euros pour le projet de réutilisation des eaux résiduelles de Torhout

La Flandre investit près d’un million d’euros dans ce projet. Le projet a été approuvé par le ministre flamand de l’agriculture Jo Brouns à la suite d’un appel lancé par la ministre flamande Hilde Crevits alors qu’elle était encore responsable de l’agriculture.

Le projet CONCRETE water for irrigation se concentre sur la collecte et le stockage des eaux de pluie dans la lutte contre la sécheresse et la rareté de l’eau. Il s’inscrit dans le cadre du Blue Deal du gouvernement flamand. À Torhout, le projet est situé à proximité du parc d’activités de Torhout Noord dans une installation de stockage d’eau construite à cet effet. L’eau de pluie est séparée physiquement de l’eau souterraine. L’eau de pluie économisée est distribuée entre 10 à 20 agriculteurs de la zone. L’eau des autres surfaces pavées de la région sera également utilisée. De cette manière, les grandes surfaces pavées de la région de Torhout-Zedelgem peuvent être liées à une utilisation réfléchie de l’eau et à un système d’eau durable.

La région devient ainsi un exemple pour de nombreux autres endroits en Flandre, où la coopération entre l’agriculture et l’industrie est exploitée de manière optimale. L’eau de ruissellement de la chaussée sera économisée et utilisée en période de plus grande demande en eau. L’accent est mis ici sur l’économie d’eau hivernale (eau qui s’écoule en période humide et n’est plus disponible en période estivale plus sèche). De plus, une coordination est recherchée avec d’autres entreprises qui ont besoin d’eau et une interaction avec le système de cours d’eau existant. L’intention est de réutiliser 120 000 mètres carrés.

Bruges, quant à elle, reçoit 1 million d’euros de soutien de l’Europe pour un développement urbain climatiquement neutre, avec 3 autres villes portuaires européennes. Les villes pilotes souhaitent réduire de plus de moitié les émissions de CO2 d’ici 2030, notamment grâce à la mobilité durable et aux énergies renouvelables.



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