Première Société de Logement de Flandre Occidentale reconnue


Première fusion flamande occidentale de sociétés de logement reconnue

La société de logement Impuls Menen, la partie Wervik de CVBA De Leie et SVK Woonkey d’Ypres fusionnent. Ensemble, ils ont 2 600 foyers sociaux sous leur responsabilité. Cependant, il reste encore 1 800 personnes sur la liste d’attente dans la région.

« Grâce à la fusion, par exemple, les personnes doublement inscrites ne figureront qu’une seule fois sur la liste, ce qui signifie que des places se libèreront et qu’elles pourront aussi être aidées plus rapidement avec un logement », précise le directeur Sonny Ghesquière. (Lire sous la photo.)

Réforme

Le secteur social se restructure. Les 82 sociétés de logement social et les 48 bureaux de location sociale actuels se réorganisent en 42 sociétés de logement. Selon le ministre flamand du Logement Matthias Diependaele, cette fusion est à l’avantage des locataires et des collectivités locales. Les grandes sociétés de logement pourront travailler plus efficacement et être plus efficaces, dit-il. (en savoir plus sous la photo)

Le renforcement des capacités doit également être renforcé. « Nous avons les ressources pour construire, mais nous ne pouvons pas convertir l’argent en briques. C’est parce que, par exemple, les autorités locales ne donnent pas leur approbation, ou parce qu’il y a des protestations dans le quartier. Avec les fusions, nous voulons nous assurer qu’il y a plus d’influence pour le faire. » réalisez-le », déclare le ministre Diependaele.

Critique

A la fin de l’année dernière, plus de 32.000 personnes de Flandre occidentale étaient sur une liste d’attente pour un logement social. Seules la Flandre orientale et Anvers obtiennent de moins bons résultats.

Mais une fusion des sociétés de logement social n’aura aucun impact sur les listes d’attente, selon le député flamand Maxim Veys (Vooruit). Ichtegem et Ardooie sont parmi les pires étudiants, dit-il. Les listes d’attente n’y sont pas forcément les plus longues, mais très peu s’y construisent. Il y a donc moins de chance de raccourcir les listes d’attente.

« A une époque où nous avons la liste d’attente la plus longue de tous les temps, le gouvernement flamand a opté pour des opérations de fusion. Celles-ci garantissent que les gens s’arrêtent et se concentrent sur eux-mêmes, plutôt que sur la solution contre la pauvreté : construire plus de logements abordables », déclare Maxim Veys. « La clé de cela réside dans les municipalités, ce sont elles qui décident. »



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