ccomme d’habitude Fulvio Scaparro, psychologue et psychothérapeute, renverse les clichés, bouleverse les pensées préfabriquées et confortables, surtout si elles sont trop sérieuses, et convainc les gens de se faire confiance, les incitant à penser par eux-mêmes. Et il nous fait sourire aux lèvres en lisant ce qu’il écrit, même si les sujets abordés ne sont pas toujours légers. Car Scaparro, qui est aussi l’auteur de nombreux essais et nouvelles et a enseigné à l’Université d’État de Milan pendant trente ans, sait recourir àironiemais aussi àimaginationau Jeu et allô étonnement résoudre certains paradoxes de la réalité.

Il récidive cette fois, dans un nouveau livre dont le titre annonce déjà une lecture pleine de surprises, jamais ennuyeuse, qui conduit à changer de perspective. Et avec une fin réconciliatrice, car elle suggère comment vivre avec l’agitation et la douleur de cette époque encore pleine de guerre, de mort et de perte de droits. Le titre l’annonce et bien plus encore : Le recul d’avant. Réapprendre la vie aux enfants, une ressource impensable (Salani). Nous en avons parlé avec lui en feuilletant le nouveau livre.

Retrouver le temps de l’enfance pour comprendre qui nous sommes aujourd’hui

« Il fut un temps où nous regardions, sentions, goûtions, sentions, touchions le monde que nous avions traversé sans préjugés, novicesguidés uniquement par les besoins et les instincts et par un équipement de base, une sorte de kit de survie fourni par des centaines de milliers d’années d’expérience de notre espèce», explique Scaparro.

« UNE moment extraordinairement important comprendre qui nous sommes aujourd’hui, mais dont nous n’avons de souvenir que dans les histoires de ceux d’entre nous qui ont pris soin de et dans la description de plus en plus précise fournie par la recherche scientifique. Écrit Allan N. Schore, neuropsychologue (Psychothérapie avec l’hémisphère droit, Milan, Cortina, 2022) : « L’esprit humain ne se forme pas lui-même, il est le résultat de relation. Les événements de la petite enfance, en particulier lorsqu’ils impliquent des relations affectives, sont imprimé de manière indélébile dans les structures cérébrales qui mûrissent dans les premières années de la vie, situées dans l’hémisphère droit du cerveau ».

L’invitation à observer les enfants

« Ce Ce n’est pas un livre de conseils aux parents. mais une invitation à nous tous, parents ou non, grands-parents, éducateurs, petits ou grands, à observer plus attentivement les enfants et ce qui se passe autour d’eux. Je demande au lecteur de réfléchir sur sa propre vie changer de perspective dès nos premières années de vie…», suggère Fulvio Scaparro.

L’ancien, le nouveau et l’histoire derrière chaque cadeau

«La mienne n’est pas une invitation à vivre la tête tournée vers le passé, mais à ne vis pas comme si chaque matin était le premier matin du monde. Il y a vraiment peu de ‘nouveau’, le ‘vieux’ ne disparaît pas mais se transformen’est pas né pour parthénogenèse. De plus, le « nouveau » n’est pas toujours un pas en avant, une amélioration, mais il arrive parfois que le pire de « l’ancien » réapparaisse comme « nouveauté ». D’où mon attention à histoire derrière chaque cadeau. Comment en sommes-nous arrivés à être qui nous sommes, à vivre comme nous vivons, à penser comme nous pensons ? On peut trouver des idées pour nous apporter des réponses dans ce livre», explique l’auteur.

Il n’y a pas de paix, mais c’est fait

Vers la fin du livre, l’auteur aborde le thème de la paix sous un angle loin des lieux communs. « On parle beaucoup de la paix comme intérêt fondamental de tous et surtout des enfants… Même en ces jours de 2022, des millions de familles vivent sous les bombes ou s’inquiètent des conséquences des guerres en cours, comme si la pandémie, la inquiétudes sur l’état de la planète, pauvreté, famine…Chacun de nous est appelé à ne pas abandonner c’est à contrer autant que possible cette course folle à l’autodestruction en soutenant avec force et personnellement toutes les initiatives de paix des relations locales, nationales et internationales… Je m’attends cependant à ce que les initiatives en faveur de la paix entre les peuples soient portées par des personnes qui pratiquent aussi la paix en privé, d’abord en famille“.

« La paix est un moyen de survivre, leagitation c’est une partie commune de l’être humain. Dans cette période, on parle de guerre et de paix. Il y a actions qui contribuent à réduire les effets de la guerre, les enfants nous l’enseignent. Ils se disputent et se battent, puis soudain ils font la paix et recommencent à jouer comme si de rien n’était », raconte Scaparro.

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L’exemple des enfants

Comme le suggère l’auteur, pour se sentir mieux et moins enfermé dans la routine consolidée, il faudrait inverser la perspective et tenter d’accomplir une tâche impossible : être capable d’observer les enfants (qui sont passés maîtres dans l’art de créer du désordre, de la surprise, du paradoxe) e essayez d’imaginer ce dont ils ont vraiment besoin. « Limerik, bêtises, calembour, pas très populaires en Italie, sont des bislaccherie que les enfants aiment… C’est vrai que les enfants veulent de la sécurité, ils adorent les rituels… Et pourtant, ils sont pédés par nature et s’amusent comme des fous à battre les cartes, à déconner. tout bon de commande pour puis redécouvrir, recomposer, l’image de leurs certitudes“, écrit Scaparro dans le livre.

Guerre en Ukraine, Zelensky accueilli par Biden à la Maison Blanche :

Association GeA, Parents Again, depuis 1987 l’engagement dans la médiation familiale

Fulvio Scaparropsychologue et psychothérapeute, est le fondateur duAssociation GeA, engagée depuis 30 ans dans l’accompagnement des couples en crise par la médiation familiale. Ne pouvant compter sur des financements publics, les ressources disponibles ne permettent pas de valoriser l’existant et de réaliser de nouveaux projets. C’est pourquoi l’Association demande une contribution pour offrir aide et soutien aux parents séparés afin que la fin d’un projet conjugal ne dégénère pas en guerre, avec de graves dommages pour les enfants et des coûts élevés pour toute la communauté. GeA en devenant membres et/ou en contribuant à « aider à aider » ceux qui ont besoin de trouver la paix dans la famille en rejoignant (cotisation annuelle 50 €), en versant un don supérieur à 50 €, d.

Comment soutenir l’association GeA

Pour contribuer à l’engagement de l’Association GeA dans la réconciliation des relations familiales il est possible :

  • rejoinsGeA Parents Association Ancòra associationgea.it (cotisation annuelle 50,00 €)
  • verser un don supérieur à 50,00 €
  • faire un don de 5 pour mille de la déclaration de revenus. Il suffit d’apposer sa signature dans la case « soutien du bénévolat et autres organismes sans but lucratif d’utilité sociale, des associations de promotion sociale et des associations et fondations reconnues opérant dans les secteurs visés à l’art. 10 ch. 1 lit. a du décret législatif n. 460 de 1997 » présent dans tous les modèles de déclaration des revenus des personnes physiques (Unico, 730, CUD, etc.) et saisir le code fiscal CF 97059120150).

Lisez ici tous les articles de Fulvio Scaparro sur IoDonna.it

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