PORTRAIT. Trente ans de décadence et de drogue, jusqu’à ce que La Rocca parte littéralement en fumée : « 25 % de clients extravagants et 75 % d’autres, venus s’émerveiller : c’était le mix du succès »

Après 34 ans de fête et de décadence, c’est fini – même sans un incendie dévastateur, les rythmes mourraient, les hanches ne se balanceraient pas et le champagne ne coulerait pas à La Rocca. « Des invités avec des jupes en cuir, des piercings et des tatouages ​​: au début des années 90, c’était spécial, n’est-ce pas. Et parfois, un morceau du haut restait à la maison. Le portrait d’une icône – malheureusement littéralement – partie en fumée de la scène disco typiquement flamande.



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