PORTRAIT. Le père « Jefke » se présentait comme un personnage chaleureux et confidentiel qui avait un bonbon pour chaque élève, mais il est désormais accusé d’abus.

« Avec sa casquette alpine tordue et son imperméable décoloré, il se présente là où sont les garçons. » Le curé Rik Devillé sait que le problème des abus au Collège Sainte-Barbe de Gand est dû à un seul père : le Père Jozef, surnommé « Jefke ». Les collègues n’avaient que des éloges à l’égard du père – « il savait immédiatement quand un élève était triste » – comme le montre son In Memoriam, mais pendant tout ce temps, il avait un sombre secret.



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