Il s’agit donc en fait d’une longue phrase qui dure des pages, réécrite par Stout et à la manière Drenthe : « J’ai trouvé que c’était une belle phrase, et ce qui m’a frappé, c’est qu’elle est comparable à l’érotisme, sur lequel j’écrivais en 1992. C’était une sorte de relais sexuel entre écrivains de Drenthe. Cela a conduit à beaucoup de «rébellion». Cette chanson a été envoyée en Yougoslavie aux soldats hollandais, par Relus ter Beek, au lieu du Playboy. (« Opzien Drents, flat zunder lakens. Histoires érotiques » dans le magazine littéraire Drenthe Roet, 1992, ST)
« Molly Bloom schrijft in haar verhaal, als ze een man op straat ziet lopen: ‘Daar wil ik wel mee naar bed. Dat lijkt me eentje die groot geschapen is. Al die seksuele details komen elke keer weer terug. Ze zegt ook dingen als : ‘Ach, overspel, wat stelt dat nou eigenlijk voor? Als onze lieve Heer geen mannen en vrouwen gemaakt had om met elkaar in bed te kruipen, waarom zou je het dan niet doen? Hij heeft ons toch zo gemaakt, daar is dat toch pour?’ Ensuite, j’ai commencé avec un pastiche, une adaptation libre de ce chapitre et je commencerai avec Bieze dans Borger. Plus tard, il ira à Noordenveld et Assen est également dedans.