Pneumonie pédiatrique en Chine : le rapport de l’OMS


LEn ces derniers mois, en Chine, le Système de surveillance ProMED a enregistré un augmentation inhabituelle des cas de pneumonie chez les enfants. Une augmentation anormale, mise à la loupe par leOrganisation mondiale de la santé (OMS), ce qui semblerait dû à l’abandon définitif des restrictions. Selon les données fournies à l’OMS par Commission nationale chinoise de la santé en fait, les cas de pneumonie inconnue ne seraient pas en cours mais plutôt provoqués par Mycoplasmevirus respiratoire syncytial, adénovirus et virus de la grippe.

Pneumonie : comment la reconnaître, les traitements et l'importance de la prévention

Pneumonie : la hausse des cas

Ces derniers mois, dans certaines régions du nord de la Chine, il y a eu une augmentation de cas de pneumonie dans le enfants. L’augmentation, annoncée déjà le 13 novembre dernier lors d’une conférence de presse du Commission nationale chinoise de la santéa conduit l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à suivre de près la situation.

L’inquiétude provenait principalement de l’incertitude du diagnostic, comprise comme l’impossibilité d’identifier l’agent causal de la maladie, rapportée par divers médias locaux. Selon les autorités sanitaires chinoises, comme annoncé lors d’une conférence de presse le 13 novembre, cette augmentation inattendue était due à la circulation de plusieurs agents infectieux.

Pneumonie infantile : causes possibles

Toutefois, ces dernières semaines, leOMS il voulait s’assurer de la situation demander formellement des informations épidémiologiques des cas, le dossiers médicauxrésultats de test laboratoire des cas incriminés. La réponse chinoise n’est ni tardive ni opportune Le 23 novembre, l’OMS a exprimé son avis sur les informations reçues.

Le document signé par la plus haute autorité mondiale en matière de santé indique que « aucun cas atypique de pneumonie n’a été constaté » et que « l’augmentation du nombre d’infections au cours des mois précédents était due à Mycoplasma pneumoniae tandis que les actuels proviennent du RSV, de l’adénovirus et du virus de la grippe ».

Ce que dit l’OMS

De plus, l’augmentation des cas – survenue plus tôt que la période classique de l’année – est imputable à fin des périodes de confinement (La Chine a été la dernière nation à abandonner cette stratégie). Une tendance très similaire, souligne l’OMS, a également été constatée dans d’autres pays dans le passé. L’L’OMS, sur la base des informations en sa possession, continuera cependant à suivre la situation.

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