Stje suis prompt à dire commodité dans les dépenses : différents consommateurs ont une idée différente de la commodité. En témoigne le dossier approfondi contenu dans la nouvelle édition duObservatoire j’imagine de GS1 Italie. Environ 133 000 aliments et boissons, soins pour animaux de compagnie, soins à domicile et produits de soins personnels ont été analysés. Un large panier de produits qui représentait en 2022 82,1% de ce qui était vendu par les hypermarchés et supermarchés.

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Chasse au confort, comment évoluent les dépenses des Italiens ?

L’Observatoire Immagino a divisé l’assortiment en trois gammes de prix, en surveillant leur tendance. Résultat: qui subissent le moins d’impact sur la réduction de la consommation sont les produits haut de gamme (ceux avec des prix jusqu’à +31% sur le prix moyen). Ils représentent 30,3% des ventes et en un an ils ont baissé en volume de -5,1% contre -5,8% en moyenne.

Au lieu de cela, c’était la gamme la plus basseavec des prix au moins 15% inférieurs à la moyenne, subir la plus forte réduction des volumes (-6,1%). Bref, ceux qui dépensent pour des produits à bas prix achètent moins. Quant au milieu de gamme, il perd -6,0% en volumes et augmente son chiffre d’affaires de +5,5%.

Grand format, non merci. j’achète moins

Le le format pratique n’est pas la solution idéal pour les italiens. En fait, la plupart ont préféré dépenser moins en espèces, même au prix de dépenses plus fréquentes et, par conséquent, de dépenses finales potentiellement plus élevées. Cela s’observe surtout dans les soins à domicile, les soins de la personne et les produits frais, où ces maxi packs ont un impact plus important sur les ventes. Les plus fortes baisses de volumes ont concerné les gammes de prix bas (-15,4 %) et moyens (-10,8 %), montrant que la partie la plus faible de la population n’a d’autre choix que d’acheter moins.

Le shopping sain bat le « italien »

Le succès de certains produits vient de certaines allégations indiquées sur l’étiquette. Les ventes ont augmenté tant en valeur qu’en volume principalement à partir de trois indications. Sur toutes et pour toutes les gammes de prix : « peu sucré » (+17,6% en valeur, +4,1% en volume). Ils suivent « protéine » (+15,0% en valeur, +0,1% en volume) e « sans lactose » (+12,1% en valeur, +2,1% en volume).

Les produits qui rappellent l’esprit italien sur l’étiquette ont moins de succès. Les neuf revendications, timbres et indications géographiques européennes recensés par l’Observatoire Immagino ont subi une baisse des volumes vendus face à la hausse des prix. L’allégation qui a le mieux résisté est la « supply chain », avec une baisse limitée des volumes (-0,7 %) malgré une hausse sensible des prix (+12,1 %). Le monde des produits bio s’est également contracté, en baisse tant en valeur qu’en volume (respectivement -2,3% et -9,4%).

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