À l’heure actuelle, plus de huit cents réfugiés mineurs sont accueillis dans des lieux inadaptés. Cela ressort des recherches menées par le PA. Par exemple, les enfants vivent dans des hôtels ou dans des lieux (d’urgence) pour adultes.
Il s’agit d’un groupe de réfugiés mineurs arrivés aux Pays-Bas sans parents, appelés mineurs non accompagnés. Depuis un certain temps, on manque de petits lieux d’accueil pour ces jeunes, malgré les appels lancés aux communes pour aménager ces lieux.
Parmi les plus de 800 jeunes, 250 disposent déjà d’un titre de séjour. Ils sont autorisés à rester aux Pays-Bas et ne sont en principe plus obligés de vivre dans un refuge régulier. Mais il y a aussi une pénurie de logements pour ce groupe.
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L’automne dernier, le tribunal a jugé que la prise en charge des enfants demandeurs d’asile non accompagnés était insuffisante, car ils se retrouvent souvent dans des lieux (d’urgence) pour adultes en raison du manque de structures d’accueil. Ces opérations sont à grande échelle et dangereuses et pratiquement aucune surveillance n’est possible.
Les jeunes ont droit à l’orientation. Cela se fait par l’intermédiaire de Nidos, qui assure la tutelle. L’organisation accompagne les jeunes afin qu’ils puissent vivre de manière autonome dès l’âge de dix-huit ans dans une maison (éventuellement partagée), un centre pour demandeurs d’asile ou retourner dans leur pays d’origine.
Afin de soulager la pression sur les places réservées aux jeunes, les mineurs non accompagnés sont désormais placés dans une azc « ordinaire » un peu plus tôt : à l’âge de dix-sept ans et neuf mois.