Bart De Smet, porte-parole du VLIZ, souligne le rôle de la technologie moderne : « Aujourd’hui, les chercheurs peuvent réaliser beaucoup de choses qui étaient impossibles il y a vingt ans. Grâce à l’intelligence artificielle et à la réalité virtuelle, nous pouvons accélérer considérablement la recherche sur la mer. » Par exemple, les robots jouent un rôle crucial dans la cartographie des fonds marins et dans l’observation des épaves historiques au large de nos côtes.
De plus, VLIZ constitue un maillon important dans la recherche marine internationale. Annelies Tavernier, employée, explique que jusqu’à 2 000 nouvelles espèces sont découvertes chaque année dans le monde. « De nouvelles espèces sont constamment identifiées en mer du Nord, mais aussi ailleurs. Il contient désormais le célèbre Registre mondial des espèces marines déjà 246 000 espèces enregistrées.