Hélène Hendriks est ouverte à un reportage dans Playboy, mais le magazine masculin a-t-il assez d’argent pour l’attirer ? « Non, ils n’auraient jamais pu se le permettre. »
L’époque où des femmes néerlandaises célèbres apparaissaient régulièrement dans Playboy est révolue grâce à l’essor d’Internet. Plus personne n’achète ce magazine si les photos coquines à l’intérieur pas le temps fuites via toutes sortes de canaux en ligne. Et cela signifie bien sûr moins de revenus, ce qui conduit à des budgets beaucoup plus réduits.
« Je ne dis pas non ! »
Hélène Hendriks a été interrogée cette semaine dans son talk-show De Oranjezomer si elle serait ouverte à un tel reportage dans Playboy. « Pourraient-ils vous appeler pour ça ? », a demandé Albert Verlinde.
Le présentateur a donné une réponse frappante : « Vous pouvez toujours appeler ! Ensuite, nous pourrons négocier.
Albert : « Et s’ils disaient : ‘Nous offrons beaucoup d’argent !’ »
Hélène : « Peut-être. Je ne dis pas immédiatement non, mais je ne dis certainement pas immédiatement oui non plus.
Que dit Playboy ?
Niek Stolker, rédacteur en chef de Playboy, trouve cela frappant. Il dit contre Afficher les actualités: « Son nom a souvent été évoqué à la rédaction. Pour être honnête, je pensais qu’elle dirait non plutôt que oui, mais apparemment, il y a une chance, alors oui… Peut-être que je l’appellerai bientôt.
Puis : « Je n’ai d’ailleurs pas son numéro, mais je peux la joindre et peut-être qu’on peut y réfléchir. »
numéro 06
Le journaliste de Shownieuws, Thom Goderie, offre son aide. « Je te donnerai son numéro dans un instant. »
Niek : « D’accord, merci, sympa. »
Au pupitre, l’expert du spectacle Bart Ettekoven dit qu’il n’en attend pas grand-chose. « Ils ne pourront jamais payer Hélène. Ces budgets sont juste ehhh… »
« Déjà à l’imprimerie ! »
Le célèbre photographe William Rutten le pense également. « Oui, vous savez, les temps ont beaucoup changé à cet égard. Dans le passé, un tel magazine sortait et était scellé dans le magasin. De nos jours, si vous avez un magazine comme celui-là, quelqu’un le prend en photo avec son téléphone, le partage sur les réseaux sociaux et boum, tout le monde l’a vu.
Patron privé Evert Santegoeds : « Déjà dans l’imprimerie ! »
William : « Oui, tu sais, ça ne sert plus à rien. Ils ne pourront plus jamais payer de grosses sommes.»