Planification des enfants et nouvel emploi : ce que l’employeur doit savoir et ce qu’il ne faut pas


Ce que l’employeur doit savoir

Fondamentalement, l’employé n’a qu’à divulguer les données le concernant dont son employeur a besoin pour remplir son devoir envers le travailleur. Aujourd’hui, les entreprises ont besoin d’informations sur l’état civil, le nombre d’enfants et l’appartenance religieuse pour que la comptabilité des salaires puisse être effectuée correctement. La citoyenneté est également requise pour l’assurance maladie. Par conséquent, d’autres données de ce type sont autorisées pour le stockage, celles-ci devant être traitées dans la plus stricte confidentialité. Si l’employé est malade, le patron n’a pas le droit d’en savoir plus sur la maladie. De plus, il n’est pas autorisé à consulter le dossier médical du salarié ni à demander des informations au médecin ou au médecin du travail et ne peut documenter que les jours d’absence. Enfin, il convient également de mentionner que les travailleurs qui envisagent de prendre un emploi à temps partiel doivent en informer leurs employés. Surtout avec les employés à temps plein, il arrive souvent que le patron n’aime pas ou même l’interdise.

Vous devriez dire à votre gestionnaire que

Même si l’employé doit divulguer beaucoup de données, il est avantageux pour la relation de travail d’impliquer davantage le superviseur dans certaines situations. Donc ça ne nuit pas à la relation avec le patron, en cas de maladie, d’en dévoiler plus quand on s’engage dans une conversation. Lors de la planification des enfants, il peut également être utile de contacter votre employeur à un stade précoce, car d’un point de vue juridique, la mère peut décider quand informer le superviseur. Cet accommodement peut grandement accroître la confiance mutuelle, puisque l’employeur est ainsi en mesure de prévoir plus tôt la période de congé de maternité pendant laquelle la salariée ne peut pas travailler. Il en est de même en cas de résiliation par le salarié. En informant son supérieur longtemps à l’avance, ce qu’il n’est pas obligé de faire, le patron peut réagir en conséquence avec une offre d’emploi ou quelque chose de similaire, de sorte qu’un changement continu puisse avoir lieu au mieux au poste, ce qui signifie que la référence professionnelle ultérieure de l’employé n’est certainement pas influencée négativement, mais plutôt positivement.

Le patron n’a pas besoin de tout savoir

En raison de la fusion actuelle du travail et des loisirs, les frontières s’estompent de plus en plus et l’employeur obtient parfois un aperçu approfondi de la vie privée de ses employés, ce qui peut lui donner certains avantages. Les sujets personnels et indépendants du travail ne doivent être abordés qu’avec modération lorsque vous parlez à des collègues ou à des supérieurs. Mais vous devriez également essayer d’éviter les déclarations liées à l’emploi telles que « C’est le travail de mes rêves », car le patron, quelle que soit la qualité de la relation avec lui, peut toujours en tenir compte lors des négociations salariales à venir, ce qui met finalement le employé désavantagé devient. En gros, il y a de moins en moins de choses dont on ne parle pas sur son lieu de travail, car les patrons et les superviseurs d’aujourd’hui essaient de plus en plus de créer et de maintenir une bonne ambiance de travail afin de bénéficier de la productivité accrue des travailleurs.

Bureau éditorial finanzen.net

Sources des images : nd3000 / Shutterstock.com



ttn-fr-28