Plan d’action fumier : les organisations agricoles et environnementales s’entendent


Plan d’action fumier : les organisations agricoles et environnementales s’entendent

L’accord de principe prévoit, entre autres, des normes de fertilisation plus strictes dans les zones où les normes de qualité ne sont pas encore respectées. Les agriculteurs seront encouragés à appliquer des engrais plus durables.

De plus, des zones tampons de trois mètres de large, exemptes d’engrais et de pesticides, seront installées le long de tous les cours d’eau. Des cultures tampons peuvent y être plantées ou le site doit rester en jachère. Dans les zones naturelles et où la qualité de l’eau est insuffisante, les zones tampons doivent avoir une largeur de cinq mètres.

humeur chauffée

Le ministre flamand de l’Environnement Zuhal Demir (N-VA) réagit avec satisfaction. A la fin de l’année dernière, elle a donné instruction aux organisations concernées de se concerter après qu’une première proposition de l’administration s’était échauffée.

Ce nouveau modèle de consultation semble maintenant avoir réussi dans sa première phase, dit-elle. Le cabinet Demir analyse actuellement la proposition. « J’espère établir un égal sens des responsabilités entre tous les partenaires de la coalition vendredi prochain lorsque je soumettrai l’adoption définitive du plan azote, conformément à la note conceptuelle de dimanche, à l’approbation du Conseil des ministres », a gentiment déclaré le ministre.

Décret

L’accord de principe doit ensuite également être vérifié auprès de la Commission européenne, après quoi il doit être traduit dans un décret avec les détails concrets des mesures.

La ‘MAP 7’ comme on l’appelle dans le jargon devrait démarrer l’année prochaine.



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