Plan d’action bien-être des agriculteurs et horticulteurs proposé


Plan d’action bien-être des agriculteurs et horticulteurs proposé

Des organisations des secteurs agricole et social, ainsi que des personnes qui visitent la ferme à titre professionnel, y travaillent. Rendre les problèmes négociables reste un point d’attention, mais s’attaquer aux facteurs de stress ou renforcer les compétences font également partie du plan.

Quiconque travaille dans l’agriculture ou l’horticulture doit faire face à de nombreuses règles et formalités administratives. Les prix sont aussi parfois décevants et la valorisation pourrait aussi être un peu meilleure. Le ministre flamand de l’Agriculture Jo Brouns : « Le seuil pour demander de l’aide si vous n’en pouvez plus doit être abaissé. Il est également important que les gens sachent où aller et que les compétences nécessaires pour y faire face soient également développées. Et continuez également à vous concentrer sur les facteurs qui causent le stress. Ce sont des pistes importantes qui font partie du plan d’action. Cela est soutenu par les personnes qui doivent travailler avec : les agriculteurs.

De nombreuses organisations du secteur agricole et social ont travaillé ensemble pour le plan d’action. Aussi, peut-être étonnamment, le VDAB. David Pappaert : « Les agriculteurs ou les horticulteurs qui ont des questions sur leur carrière ou leur travail, s’ils ont des problèmes ou des préoccupations, peuvent contacter un conseiller d’orientation. Il peut s’agir de questions générales. Tels que : je veux savoir ce que je peux éventuellement externaliser, les choses ne vont pas dans la bonne direction ici, quelles options ai-je, ou j’aimerais passer plus de temps avec ma famille. Comment combiner cela avec la vie à la ferme ?

Un conseiller d’orientation se met alors au travail avec ces questions. Le VDAB emploie pour cela des personnes expérimentées dans le secteur. Mais les gens de la région, comme le médecin généraliste, peuvent aussi offrir de l’aide. « Un stress excessif peut provoquer toutes sortes de symptômes physiques. Ensuite, c’est à nous de nous renseigner activement sur leur stress et si cela fonctionne encore un peu. Nous devons faire comprendre à nos médecins qu’ils doivent activement faire ce genre de choses », déclare Siegfried Van Eygen de Domus Medica.

Plus d’appréciation est également la bienvenue. Avec le slogan « Votre sympathie donne de l’énergie à nos agriculteurs ! » le VLAM veut aussi mettre cela à l’honneur.



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