Même la dernière proposition de médiation fatigante sur laquelle travaillait le gouvernement n’a pas abouti à un accord avec Forza Italia et Lega. Une note commune des chefs de groupe au Sénat (Anna Maria Bernini et Massimiliano Romeo) publiée dans la matinée du 19 mai précisait que l’accord sur les concessions de baignade n’existait toujours pas, annonçant un temps orageux pour la journée.
Rémunération liée à la valeur de l’entreprise
La énième rencontre entre le gouvernement et les commissaires de la provision, Stefano Collina (Pd) et Paolo Ripamonti (Lega), qui a eu lieu tôt le matin, n’avait pas produit les résultats escomptés. Il y a une hypothèse de compromis technique, mais l’exécutif ne veut pas aller au-delà. Le régime prévoirait le respect du 31 décembre 2023 comme durée de validité des concessions actuelles, conformément à l’arrêt du Conseil d’État, mais avec d’éventuelles exceptions techniques jusqu’à fin 2024 uniquement dans le cas où les Communes seraient objectivement incapable de terminer en temps utile pour les courses. Pour un certain nombre de raisons, liées par exemple à l’incomplétude de la cartographie du tronçon côtier ou à la non-réception du rapport sur la valeur de l’entreprise qui servira de base à la définition de la rémunération des cadres sortants.
La compensation est l’autre élément qui détermine la résistance de Forza Italia et Lega. C’est pourquoi nous avons beaucoup travaillé sur une formulation qui tient compte de la valeur de l’entreprise et des frais de démarrage, mais avec des limites pour sa détermination, à relever des livres comptables ou à défaut d’une expertise assermentée.
Le Conseil des ministres est en train de couper une melina qui dure plus d’un mois. Si elle durait encore une semaine, elle se rapprocherait dangereusement de la pause parlementaire pour les élections administratives, que les partis pourraient alors contourner sans aborder la question controversée des plages.
Délais serrés : confiance en vue
Dans la feuille de route initiale, l’objectif était d’approuver le texte en commission de l’industrie dès Pâques, première étape pour arriver au feu vert définitif de la disposition d’ici la première semaine de juillet. À ce stade, soit un accord est atteint, soit d’ici mai, la confiance sera placée. Et à ce moment-là toutes les reformulations patiemment consenties jusqu’ici par le gouvernement et la majorité sur les autres articles qui, dans l’accord entre les Chambres, devraient être modifiés au Sénat, à commencer par les services publics locaux, les concessions hydroélectriques, les concessions portuaires, seraient deviennent aussi des vieux papiers. , la distribution de gaz, les médicaments.